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Reportage de la RTS: chirurgie laser des yeux avec Novacorpus

Reportage de la RTS: chirurgie laser des yeux avec Novacorpus

Pour votre confort, retranscription de l’émission de la RTS – TTC, ci-dessous:

[Patrick Fisher, présentateur] En plein débat sur la hausse des primes, certain suisses n’hésitent plus à se faire soigner à l’étranger où ça coute moins cher. Ce tourisme médical est-il un moyen de faire baisser les coûts de la santé ? Quel jeu jouent les assurances ? Magali Rochat a fait le voyage avec un patient qui est parti se faire opérer des yeux à Istanbul.

A première vue, François Rollier est un voyageur comme les autres. Et pourtant, si aujourd’hui il embarque pour Istanbul, ce n’est pas pour ses mosquées, mais pour ses cliniques. Ce jurassien n’est pas un touriste ordinaire, c’est un touriste médical. Alors, qu’est- ce que ça fait ?

[François Rollier] Ben, on va un petit peu dans l’inconnu, il y a une question de langue, parfois on ne sait pas trop ce qu’on va trouver. Mais à part ça, tout le monde dit: ah, mais qu’est-ce que tu vas faire en Turquie pour les yeux, c’est un petit peu bizarre… Mais j’ai très confiance.

Cet employé des CFF porte des lunettes depuis l’âge de neuf ans. Avec moins 10 de myopie, sans ses verres, son horizon n’est pas toujours très clair. Et ses lunettes très chères : il doit débourser mille francs tous les deux ans. Il s’est donc décidé pour une chirurgie au laser des yeux, mais pas à n’importe quel prix : son budget est compté.

[François Rollier] J’étais persuadé qu’un jour j’allais faire cette opération, mais c’était toujours pour moi trop cher et quand j’ai reçu la publicité via ma caisse maladie, j’ai vu Istanbul, Amsterdam ou Grenoble, mais Istanbul proposait vraiment les meilleurs prix.

Comme François, voici la publicité qu’ont reçu les 600000 clients d’Assura. Elle propose des opérations laser à prix cassé, 925 francs l’œil. Si on fait le calcul pour François ça fait 1850 pour les deux yeux et la prise en charge en clinique. 250 francs pour l’assurance en cas de complication, 200 francs pour les contrôles avant et après en Suisse, et enfin 420 francs pour le billet d’avion. Total : 2720 francs. En Suisse c’est environ 6000 francs pour les deux yeux, et sans séjour en clinique. Les corrections de la vue ne sont pas remboursées par l’assurance de base, alors pourquoi un tel coup de pub de la part d’Assura ? De la poudre aux yeux ?

[Claude Goy, directeur des prestations d’Assura] Nous allons pousser la majorité de ces assurés-là, à ne plus devoir verser des prestations pour les lunettes. Ça permet de fidéliser aussi nos assurés en leur offrant des possibilités intéressantes de trouver des solutions.

Arrivé à Istanbul, pas le temps de jeter un coup d’œil aux mosquées. François est directement transféré à la clinique qui est dans laquelle il va passer 5 nuitées. Ici on joue à fond la carte du multilinguisme : on a même prévu un traducteur francophone.

[Traducteur] Vous aurez le repas dans votre chambre si vous désirez. On a aussi une cafétéria.

[François Rollier] Et ça coûte combien ?

[Traducteur] C’est gratuit, Monsieur.

[François Rollier] C’est gratuit…

Derrière tout ça, on trouve un médecin genevois, devenu entrepreneur. Il a fondé Novacorpus, une entreprise spécialisée dans le tourisme médical. C’est lui qui fait l’intermédiaire entre médecins étrangers et patients suisses. Une démarche lucrative, mais pas seulement.

[Stéphane de Buren, directeur Novacorpus] La faiblesse du système de santé suisse, c’est que les chirurgiens opèrent finalement peu. Dans des pays, que ce soit en Turquie, en France, en Hollande, vous avez la possibilité d’avoir des chirurgiens qui opèrent beaucoup, beaucoup, beaucoup, et qui ne font qu’un type d’opération toute la journée et qui ont donc une expertise qui est absolument incomparable.

[Chirurgien] Vous êtes là pour quoi ?

[François Rollier] Pour quoi ? J’aimerais bien qu’on m’opère et qu’on me fasse l’opération au laser pour que je puisse enlever mes lunettes.

Première entrevue avec le chirurgien, grand spécialiste en la matière. Chaque année il fait à lui seul 3000 opérations au laser. C’est deux fois plus que tous les médecins d’une grande clinique de Suisse romande réunis. Et en plus, il parle français.

[Chirurgien] Ce n’est pas facile de décider d’aller en Turquie pour faire un examen. Ce n’est pas facile de prendre une décision comme ça.

Pas facile, mais sous les yeux de son futur chirurgien, François est plutôt rassuré.

[François Rollier] J’ai confiance en lui. Et il a l’habitude, il a des milliers de patients. Donc là… j’ai même plus confiance en lui qu’en Suisse.

En Suisse, justement, cette démarche n’est pas vraiment perçue d’un bon œil.

[Michel Matter, pdt Assoc. des ophtalmologues de Genève] Pourquoi ? Parce que c’est apparenté à un business. C’est simplement de dire : vos yeux sont un produit, ce produit nous intéresse, on va se faire de l’argent sur vos yeux. La médecine c’est autre chose. On m’a eu appris qu’en chirurgie, le plus important c’est la phase après l’opération. Quand ça se passe bien, tout le monde est content. Quand il y a un problème, à ce moment-là on se pose des questions. Et retourner une fois, deux fois, trois fois à Istanbul, ça devient compliqué.

[Docteur Stéphane de Buren] On peut essayer d’avoir du protectionnisme mais ça ne va pas s’arrêter comme ça. C’est le dernier secteur de l’économie qui est en train de se globaliser. Pour une fois, ça bénéficie à chacun. C’est très bien pour la Suisse, qui a la possibilité de baisser les coûts en allant à l’étranger.

[Pierre-Yves Maillard, chef département Santé et Action Sociale VAUD] A l’étranger il y a plein de choses qu’on peut faire moins cher. C’est connu, les salaires sont plus bas, le niveau de vie est différent, donc ce n’est pas un scoop.

Mais pour le patron vaudois de la santé, généraliser les opérations offshores n’est donc pas une réponse à la flambée des coûts en Suisse.

[Pierre-Yves Maillard] Le plus vraisemblable c’est que nos médecins peut-être travailleront un tout petit peu moins, feront quelques actes en moins, mais ils seront toujours là, il faudra toujours qu’ils soient payés parce qu’on en a besoin pour les cas d’urgence. Donc le plus vraisemblable c’est que cette offre s’ajoute à l’offre locale et qu’elle ne la remplace pas. Du coup c’est probablement même peut-être générateur de surcoût.

[Présentateur] Magali Rochat, bonsoir.

[Magali Rochat] Bonsoir.

[Présentateur] Alors est-ce que les Suisses sont nombreux aujourd’hui à aller se faire opérer à l’étranger ou ça reste quand même assez marginal ?

[Magali Rochat] Alors malheureusement il n’existe pas de chiffres précis, mais ce qu’on sait c’est que selon une étude mandatée par Novacorpus, 50% des Suisses sont prêts à aller se faire soigner à l’étranger du moment que le médecin parle leur langue. Donc ce qu’ils avancent, évidemment, c’est le coût, c’est une tendance en expansion ici mais aussi ailleurs dans l’Union Européenne, puisque par exemple il existe la libre circulation des patients. Et aujourd’hui il est possible pour un français d’aller se faire soigner en Espagne, en se faisant rembourser par son assurance sociale.

[Présentateur] Et alors est-ce qu’il existe maintenant une géographie un peu des disciplines ?

[Magali Rochat] Alors évidemment, il y a des centres de compétences, d’excellence qui se développe. Pour la chirurgie cardiaque, on aura plus tendance à aller en Asie : Thaïlande, Singapour, Inde. Pour tout ce qui est chirurgie esthétique, on ira plutôt en Afrique du Nord ou en Afrique du Sud, même, il existe même des safaris médicaux aujourd’hui. Et en Europe, c’est moins cher d’aller se faire opérer des dents en Hongrie ou en Espagne, et pour les yeux, on l’a vu, c’est Amsterdam, ou alors Istanbul.

[Présentateur] Alors Istanbul, on va y retourner, on va retrouver votre patient là-bas et les choses ne vont pas tout à fait se passer comme prévu.

Après une batterie de tests, le constat saute aux yeux. [Chirurgien] Vous avez un début de cataracte, à l’œil droit.

[François Rollier] Ah, c’est ça.

Conséquence : François ne peut pas avoir d’intervention au laser comme il le souhaitait. Déception.

[François Rollier] Oui, mauvaise nouvelle.

On lui propose donc de l’opérer de la cataracte et de lui implanter des lentilles multifocales, qui lui permettront de se débarrasser définitivement de ses lunettes.

[François Rollier] Bon. Alors il faut réfléchir un petit moment.

Si la décision est si difficile, c’est qu’en Suisse, la cataracte est remboursée par l’assurance de base, mais pas ce type d’implant, qui eux, chez nous, coûte les yeux de la tête. Et comme François a une franchise à 2000 francs, la même intervention lui revient de toute façon moins cher ici. Reste que par rapport à son budget de départ, c’est plus du double, on passe de 2720 francs à environ 5800 francs.

[Magali Rochat] C’est un prix qui est très élevé pour vous ?

[François Rollier] Oui, quand même, c’était pas du tout dans mon budget, alors… Ca impliquerait quelques sacrifices. Il faudra voir avec la famille, qu’est-ce qu’on va faire ? Mais bon, de toute façon un jour j’aurais dû aussi opérer la cataracte, il faut tout compter. C’est du long terme.

Sans même appeler son assureur, il décide donc de passer à l’action et c’est parti pour une demi-heure d’opération. Âmes sensibles, s’abstenir. Deux semaines plus tard, en Suisse nous retrouvons François à son travail, et sans lunettes.

[François Rollier] Plus de lunettes, j’ai pu les jeter, avec grand plaisir. Je vois très bien la télévision, dans la rue, je peux lire le journal. Formidable.

Et plus formidable encore, contre toute attente, son assureur rentre en matière. Une grande première.

[Claude Goy] On va lui rembourser ses frais comme s’il avait fait son intervention en Suisse, c’est-à-dire sous déduction de sa participation. Mais on va prendre l’intégralité. Il sera gagnant, parce que ça lui coûtera bien moins cher, et la caisse aussi. Pourquoi la caisse maladie est gagnante et l’assuré est gagnant aussi. Est-ce qu’on va se conduire d’une manière ridicule, en disant non, non, on fait une stricte application des dispositions légales ?

L’Office Fédéral de la Santé Publique nous a confirmé que l’assureur n’est pas autorisé à rembourser des prestations faites à l’étranger avec l’assurance de base. La caisse est soumise au principe de territorialité, sauf en cas d’urgence, de traitements qui ne peuvent être fournis en Suisse, ou de projets pilotes. Notre cas n’entre dans aucune de ces exceptions. Est-ce dire qu’Assura va contourner la loi ?

[Claude Goy] Nous n’avons pas le droit de rembourser au titre de l’assurance de base une prestation qui a été faite volontairement à l’étranger, mais on a le droit de la rembourser au moyen d’un fond qui existe donc chez Assura, comme dans d’autres caisses d’ailleurs.

Nous n’en saurons pas plus sur la nature de ce fond quelque peu obscur. Qui y a droit ? Ce qui est sûr, c’est que le cas de François créé un précédent.

[Claude Goy] Je pense que pour les suivants, s’il y a d’autres patients qui se trouvent dans la même situation que notre assuré, nous allons prendre la même décision.

Ce petit arrangement aura permis à Assura une économie d’environ 2000 francs. Pareil pour François. Ça valait le détour.

[Présentateur] Alors, si ça arrange tout le monde, est-ce que finalement un jour les caisses maladie pourraient nous pousser à nous faire opérer à l’étranger ?

[Magali Rochat] Alors elles aimeraient bien, enfin en tous cas ce que nous a affirmé Assura, mais malheureusement elles n’ont pas le droit pour l’instant d’inciter les gens à aller se faire assurer à l’étranger parce que c’est moins cher.

[Présentateur] Alors Assura dans votre reportage nous parle d’un fond, d’un fond spécial, c’est quand même assez étonnant. Vous en savez un peu plus sur ce fond ?

[Magali Rochat] On a cherché à en savoir un peu plus mais les réponses étaient un peu évasives. Alors apparemment il s’agirait d’un fond de secours qui est utilisé dans des cas limites, par exemple si un patient a été mal informé et que c’est pour ça qu’il est entré dans un traitement. Mais on n’en sait pas vraiment plus. [Présentateur] Et on sait comment il est financé, par contre, ce fond ?

[Magali Rochat] Alors là non plus, on a eu le directeur des prestations d’Assura tout à l’heure au téléphone, qui nous a dit que probablement l’argent serait pris dans l’assurance complémentaire mais il n’est même pas vraiment sûr. Et ça pose un problème parce que si l’argent est pris dans l’assurance complémentaire, ça montre qu’il y a un transfert entre l’assurance de base et l’assurance complémentaire, ce qui est interdit par la loi. Maintenant si l’argent est pris dans l’assurance de base, comme on l’a vu dans le sujet, ça pose un autre problème parce que là, LAMal ne peut pas rembourser des prestations en fait, à l’étranger.

[Présentateur] Donc dans les deux cas, il y a un problème. [Magali Rochat] Dans les deux cas il y a un problème et je pense qu’il faudrait creuser un tout petit peu la chose.

[Présentateur] Magali, merci ! Et puis ces prochains mois on va vous laisser un peu tranquille, je crois que vous avez mieux à faire. Ce sera d’ailleurs le premier bébé de TTC. On vous souhaite beaucoup de bonheur, à très bientôt.

[Magali Rochat] Merci.

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PME Magazine interview le Dr Stéphane de Buren, directeur de Novacorpus dans l’article : « Mobilité médicale, comment sortir de l’impasse ? ».

L’article du magazine suisse insiste sur la réduction des coûts permise par le tourisme médical, ainsi que la possibilité de soulager des patients en liste d’attente. Il soulève aussi les obstacles au développement rapide d’un système de soins à l’étranger, tout en signalant qu’en Angleterre et aux États-Unis, le tourisme médical est déjà une tendance forte.

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Se faire soigner à l’étranger: la solution pour faire baisser les coûts? (2009)

Le Dr Stéphane de Buren intervient dans l’émission En Ligne Directe sur RTS La 1ère, consacrée aux soins à l’étranger. Les questions de la libre circulation des patients, de la qualité des soins (qui dépendent du médecin et non du pays), de l’assurance maladie, et de l’impossibilité de se soigner pour de nombreux Suisses sont abordées. Stéphane Rossini, des patients et des auditeurs prennent également la parole.

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