Pour Top Santé, le Dr Dominique Pierrat interviewe en 2009 le Dr Stéphane de Buren, directeur de Novacorpus.
Comment prospectez-vous ?
Dr Stéphane de Buren : C’est la partie la plus difficile de mon travail, car il faut trouver le praticien bon, pas cher, souple et organisé. Je contacte les praticiens qui me semblent intéressants. La qualité de leur réponse fournit une première impression (réactivité, importance de la relation avec le patient…). Si tout va bien, je pars dans le pays pour visiter les cliniques ou les cabinets repérés, et rencontrer une première fois les médecins ou dentistes qui me semblent compétents et sérieux. Autre point important : je ne retiens que des praticiens français ou francophones, avec qui je signe un contrat par lequel ils s’engagent (…) à utiliser du matériel de qualité, à pratiquer des prix fixes et à offrir une garantie au patient.
Comment être sûr de la compétence du praticien ?
Dr S. de B : La phase de vérification peu dépasser une année par médecin ou dentiste ! Je les regarde opérer, je m’assure de la valeur des diplômes, de la validité des assurances professionnelles, de leur expérience, de la qualité du matériel et de l’autorisation de la pratique médicale.(…) Je demande aux dentistes des radios que je montre à des spécialistes sans lien avec ma société, pour vérifier la réalisation des implants.
Est-on vraiment aussi bien soigné qu’en France ?
Dr S. de B : Oui, absolument ! La qualité dépend du médecin, mais le prix dépend du pays. En France comme ailleurs, vous pouvez être bien ou mal opéré. Cela dépend surtout du médecin. Quant au matériel, vous serez peut-être surpris d’apprendre que la plus grande clinique ophtalmologique au monde se trouve à Istanbul. On y pratique quelque 20000 opérations de la myopie par an et les patients viennent du monde entier pour y être opérés.
Dr Stéphane de Buren : C’est la partie la plus difficile de mon travail, car il faut trouver le praticien bon, pas cher, souple et organisé. Je contacte les praticiens qui me semblent intéressants. La qualité de leur réponse fournit une première impression (réactivité, importance de la relation avec le patient…). Si tout va bien, je pars dans le pays pour visiter les cliniques ou les cabinets repérés, et rencontrer une première fois les médecins ou dentistes qui me semblent compétents et sérieux. Autre point important : je ne retiens que des praticiens français ou francophones, avec qui je signe un contrat par lequel ils s’engagent (…) à utiliser du matériel de qualité, à pratiquer des prix fixes et à offrir une garantie au patient.
Comment être sûr de la compétence du praticien ?
Dr S. de B : La phase de vérification peu dépasser une année par médecin ou dentiste ! Je les regarde opérer, je m’assure de la valeur des diplômes, de la validité des assurances professionnelles, de leur expérience, de la qualité du matériel et de l’autorisation de la pratique médicale.(…) Je demande aux dentistes des radios que je montre à des spécialistes sans lien avec ma société, pour vérifier la réalisation des implants.
Est-on vraiment aussi bien soigné qu’en France ?
Dr S. de B : Oui, absolument ! La qualité dépend du médecin, mais le prix dépend du pays. En France comme ailleurs, vous pouvez être bien ou mal opéré. Cela dépend surtout du médecin. Quant au matériel, vous serez peut-être surpris d’apprendre que la plus grande clinique ophtalmologique au monde se trouve à Istanbul. On y pratique quelque 20000 opérations de la myopie par an et les patients viennent du monde entier pour y être opérés.